Domblans (Jura)

1. Localisation et emprise connue de l’occupation

 

Domblans, commune du vignoble jurassien, traversée par la Seille, présente une grande densité de vestiges. Si la période préhistorique semble n’avoir laissé aucune trace, en revanche, une occupation humaine est attestée dès la Protohistoire. Mais c’est sans conteste la période antique qui a laissé le plus de vestiges dans le paysage grâce notamment à la présence d’une agglomération antique au passage à gué de la voie Lyon-Besançon sur la Seille, au lieu-dit Gué Farou. L’habitat, de part et d’autre de la rivière, à cheval sur les communes de Domblans et Bréry, est connu grâce à des découvertes fortuites, des prospections pédestres et aériennes. Malgré une bonne connaissance de l’extension de l’occupation, la topographie interne de l’agglomération reste méconnue. Les vestiges repérés s’étendent en l’état actuel des recherches sur une superficie estimée à environ 5 ha. Au nord de la Seille, les vestiges ont été repérés sur 200 m, tandis qu’au sud, ils ont été identifiés sur 100 m, au-delà de la zone inondable. Les structures semblent donc plus étendues au nord de la rivière.

 

 

2. Cadre naturel

 

La commune de Domblans se situe au cœur du département du Jura, sur les contreforts du massif du même nom. Le village actuel est implanté sur les rives de la Seille, rivière qui prend sa source dans la reculée de Baume-les-Messieurs. Avant de pénétrer dans le plateau Bressan, bien plus à l’ouest, où elle entaille les sédiments tendres du Pliocène dès sa sortie du Jura, la Seille traverse deux régions de structure bien différente. La première est une région disloquée par de nombreuses failles, « le plateau lédonien », la seconde, très plissée, correspond structuralement à la zone de notre étude, elle est couramment appelée « le vignoble ». Cet espace s’allonge entre Salins-les-Bains au nord, et la région septentrionale de Lons-le-Saunier, au sud. Il constitue une surface de contact entre les premiers plateaux du massif jurassien à l’est, et la plaine de la Saône, à l’ouest.

 

 

3. Etat des connaissances

 

Des auteurs du XIXe siècle comme D. Monnier, E. Clerc ou A. Rousset ont mentionné pour la première fois le site du Gué Farou ou la voie romaine qui traverse la plaine à cet endroit. Ils avaient ainsi remarqué sur le tracé de cette voie le nom caractéristique de Gué Farou et la présence de vestiges archéologiques dans les champs cultivés environnants (Monnier 1845, p. 93-95 ; Rousset 1853-1858, III, p. 2-3). De nombreux autres vestiges sont également repérés dans la plaine permettant de situer certainement plusieurs établissements ruraux tels qu’à Fonténis (UI n° 39199-06), la Vigne Sarrazine (UI n° 39199-07) ou la Cote de Meure (UI n° 39199-16). Les vestiges les plus importants se trouvent sans doute au lieu-dit Villans où une grande villa semble se développer, à l’écart de la voie romaine Lyon-Besançon. Dès 1814, des vestiges gallo-romains sont apparus (UI n° 39199-09) : « débris de constructions, tuiles romaines, monnaies, haches, anneaux et statuettes en bronze… » (Bruand 1814, p. 112-130). Des structures apparaitront sur ce site par prospection aérienne en 1979 (UI n° 39199-12 ; Chouquer 1979).

Il faudra ensuite attendre 1979 pour que des travaux d’assainissement apportent des éléments nouveaux en nombre suffisant pour confirmer l’existence d’un groupement d’habitats aux abords du Gué Farou (UI n° 39199-03). Ce fossé de drainage a été effectué par le Génie Rural afin d’évacuer dans la Seille, au Gué Farou, l’eau de terrains humides proches d’un lotissement créé par la commune de Domblans. Sur les 1400 m qui constituent les deux derniers tiers de son parcours, le fossé de drainage longe le bord est des chemins ruraux qui suivent le tracé de la voie romaine et coupent la RD 120 à la Croix de Champagne. Il atteste, à hauteur du Gué Farou, de niveaux de constructions, de mobilier et de scories. Les prospections qui s’ensuivent démontrent la réelle existence d’une occupation de part et d’autre de la Seille (UI n° 39199-04 et 39075-09). Elles permettent de délimiter l’extension des vestiges au sol. Les résultats sont publiés dans une notice de C. Mercier en 1986 dans Les agglomérations de Franche-Comté romaine (p. 148-151). Durant cette période de nombreuses prospections, aériennes et pédestres, sont réalisées sur ce secteur, permettant de confirmer, entre autres, l’existence des sites déjà repérés au XIXe siècle par les érudits locaux. Des enclos circulaires protohistoriques sont alors détectés à la Croix de Champagne (UI n° 39199-25 ; Chouquer 1979) ou aux Tâches (UI n° 39199-05 ; Aubert 1984), de même que de nouvelles substructions antiques, à l’exemple d’un petit établissement rural à la Combe du Poirier (UI 39199-08 ; Chouquer 1992). Au Gué Farou, la détection aérienne est moins évidente du fait de la situation du site, en bord de rivière. Des structures semblent toutefois avoir été repérées en 1985 par J. Aubert : un bâtiment gallo-romain d’environ 20 m de côté avec une galerie (UI n° 39075-10). Le site n’a alors jamais fait l’objet de fouille ou de sondage permettant de connaître davantage son organisation spatiale, ou la nature de son occupation.

Les seules opérations archéologiques ont lieu à l’est du village, à l’occasion de travaux d’aménagements de nouveaux lotissements ou zones industrielles. À proximité de la villa de Villans a lieu en 1997 un premier diagnostic (UI n° 39199-14) qui ne révéla aucune structure (Nowicki 1997). En 1998, au Pré Mourain, au sud de la même villa, les résultats sont similaires (UI n° 39199-15). Aucune structure n’a été décelée, même si un niveau anthropique contenant quelques tessons antiques montre la volonté d’assainir le secteur à l’époque gallo-romaine (Nowicki, Humbert 1998). Enfin, aux Bauches, à la limite avec la commune de Voiteur, le dernier diagnostic réalisé en 1999 (UI n° 39199-22), puis la fouille de 2011 (UI n° 39199-23) a livré les vestiges d’un bâtiment du Ier siècle de notre ère, construit sur un niveau attribuable à la fin de la période laténienne. Il s’agit néanmoins d’une structure isolée, qui pourrait peut-être être rattachable à la villa toute proche (Card 2011).

 

 

4. Organisation spatiale

 

Les vestiges de l’agglomération de Domblans/Gué Farou sont au final très peu connus et l’organisation spatiale est totalement inconnue. Seule l’extension du site peut être déduite des quelques prospections au sol réalisées.

 

            4.1. Voirie

Malgré une méconnaissance de la topographie interne de l’agglomération, il semble que les structures soient indéniablement liées à la voie antique Lyon-Besançon, traversant à gué la Seille au Gué Farou. Cette voie (UD n° 1), sous le nom de Chemin des Salines, Grandes Charrières ou la Vie Poire, correspondait à la voie antique Lyon-Besançon-Strasbourg, par Lons-le-Saunier et Grozon. Son tracé a été reconnu sur environ 4 km dans sa traversée des communes de Domblans et Bréry, constituant d’ailleurs la limite communale à hauteur de l’agglomération antique de Gué Farou. Cette voie passait à la Muire par la Grange de Montalent et franchissait la rivière de la Seille au Gué Farou. Au sud du gué, son tracé est repris par les chemins ruraux, et au nord, par un segment de la RD 193 puis par des chemins de moindre importance. Ce tronçon, sans doute de création romaine, succède à un premier itinéraire protohistorique repéré à l’est, dénommé Rue de Blandans (UD n° 2). Ce dernier traverse la plaine à son endroit le moins large en face de Blandans, après être passé dans le village actuel de Domblans. Selon C. Mercier (1986, p. 150) cet itinéraire sera ensuite repris à l’époque médiévale, alors que la voie antique semble délaissée.

 

            4.2. Le bâti

La tranchée d’assainissement réalisée en 1979 le long de la voie romaine, traversant l’agglomération, au sud de la Seille, apporte de précieux renseignements sur l’étendue et la disposition des structures au Gué Farou. D’après les observations relatées par C. Mercier (1986, p. 149), les parois de ce fossé, large de 3 m et profond d’1,50 m, montraient, au moment de son creusement, un niveau archéologique d’époque romaine situé entre 0,20 m et 0,30 m de profondeur (UD n° 11). Ce niveau, épais de 0,10 à 0,20 m était caractérisé par une couche d’incendie riche en charbon de bois, mêlé à des fragments de tuileaux accompagnés de tessons de céramiques et, en un endroit, de scories. Ce milieu était pauvre en pierres de construction mais il comportait une grande quantité de pierres à angles vifs marquant ici les seuls niveaux de constructions observés. La situation des vestiges par rapport au cours actuel de la rivière est également instructive. En effet, ce niveau fait brusquement son apparition à 75 m de la rive gauche du cours actuel de la Seille, à l’aplomb d’un ancien lit de celle-ci qui délimite la zone actuellement inondable en temps de fortes crues. Même si la plaine alluviale de la Seille semble, à première vue totalement homogène, elle présente en réalité à l’endroit du Gué Farou, de part et d’autre de la rivière, un espace légèrement déprimé large de 100 m sur la rive droite et de 75 m sur la rive gauche. Cet espace qui correspond donc à la zone inondable de la Seille semble donc vierge de toute occupation antique, comme l’a démontré le fossé de drainage de 1979. À partir de cet ancien lit de la rivière la couche archéologique s’étend sans interruption le long de la voie sur une centaine de mètres en direction du sud. Au nord de la Seille, sur la commune de Bréry, d’autres vestiges ont été repérés par prospection pédestre (UD n° 12). Ces derniers se répartissent le long de la voie romaine, immédiatement au-delà de la zone inondable, dans une zone comprise à l’intérieur du premier virage de la RD 193. Là aussi, l’habitat est signalé par la présence de pierres à angles vifs et de morceaux de tuileaux.

 

4.3. Nécropole

Aucune nécropole liée à l’agglomération antique n’a été reconnue. Des sépultures ont toutefois été repérées dans l’environnement proche, toutes attribuables aux périodes tardo-antiques et médiévales. Celles découvertes à Fonténis (UD n° 4 ; Rousset 1853-1858, III, p. 8), tout comme celles de la Vigne Sarrazine (UD n° 5, Monnier 1845, p. 95), s’installent sur des structures antiques appartenant sans doute à des établissements ruraux du Haut-Empire. Une autre nécropole d’époque mérovingienne est signalée le long de la Seille à la Côte de Meure, à l’emplacement d’une gravière (UD n° 8 ; Rousset 1853-1858, III, p. 3).

 

4.4. Etendue supposée et remarques

Dans l’état actuel des connaissances, l’occupation antique du Gué Farou a été repérée sur une superficie avoisinant les 5 ha, de part et d’autre de la rivière. Cette donnée nous est seulement fournie par le biais des prospections au sol et de quelques prospections aériennes.

 

 

5. Nature et caractérisation de l’occupation

 

La découverte de scorie de fer lors des différentes opérations au Gué Farou permet de situer une activité métallurgique au sein de l’agglomération antique. Il s’agit là des seules traces d’artisanat décelables dans l’état actuel des recherches. La méconnaissance de l’organisation spatiale de l’agglomération ne permet pas de détecter d’autres activités : sanctuaire ? Artisanat spécialisé ?

Hormis l’agglomération, La fouille d’un bâtiment agricole aux Bauches (UD n° 21) a permis de déceler la présence d’un artisan forgeron dans la pièce C. L’étude des déchets scoriacés provenant de ce site en témoigne aisément. Les témoins du travail de forge se manifestent tout d’abord par des macro-déchets qui sont en position de rejets (en fosses). Ils sont composés essentiellement de culots. Les micro-déchets sont également très présents avec des battitures plates et des billes de forge (Card 2011, p. 147). En revanche, aucun déchet n’a pu être attribué à l’opération de réduction du minerai. Les études semblent démontrer que la forge, installée dans le bâtiment dès le début de l’occupation, et qui va perdurer jusqu’à l’abandon de celui-ci, ne paraît pas relever d’un artisanat « domestique » mais bien d’une production d’objets (ici au moins des couteaux et des garnitures et renforts de meubles) dans le cadre d’une activité spécialisée et destinée à la vente. Cette activité artisanale, exercée au sein du bâtiment fait rentrer celui-ci dans la catégorie des établissements ruraux à vocation spécialisée (essentiellement en artisanat du fer d’ailleurs) que l’on commence à repérer dans le maillage de l’occupation rurale antique. Une fois cette interprétation établie se pose alors la question de la relation entre ce bâtiment et l’agglomération du Gué Farou (qui a aussi révélé des traces d’artisanat du fer), reconnue à 2 km au nord-ouest. La solution tient peut-être à la chronologie, il est possible que la forge établie dès le début du premier siècle sur un secteur peut-être occupé antérieurement ait été transférée à la fin du Ier siècle ap. J.-C. au sein de l’agglomération (Card 2011, p. 149).

 

 

6. Chronologie et critères de datation

 

Seul le mobilier issu des observations au sol apporte des informations sur la chronologie d’occupation de l’agglomération antique de Domblans/Gué Farou. L’occupation protohistorique de la plaine de Domblans est essentiellement représentée par quelques enclos funéraires repérés à la Croix de Champagne et aux Tâches, un bracelet isolé de La Tène sur le tracé du chemin de fer ainsi que par la découverte de monnaies gauloises sur le territoire communal (types BN 9340 et BN 5550). La fouille de l’habitat antique des Bauches (UD n° 21) prouve également une occupation antérieure au Ier siècle de notre ère sous forme de structures fugaces et d’un mobilier disséminé à la surface d’une zone limoneuse (Card 2011).

 

6.1. Haut-Empire

Le mobilier céramique recueilli au Gué Farou, assez abondant, se compose essentiellement de fragments de céramique d’assez bonne qualité mais avec assez peu de tessons de sigillée sans décor, et peu de céramique grossière. Un examen sommaire de ce lot a permis de dater l’essentiel de cette céramique des Ier et IIe siècles de notre ère, et seuls quelques tessons peuvent être plus tardifs. L’absence de véritable étude de mobilier ne permet pas de confirmer ces premières observations, réalisées par C. Mercier en 1986 (p. 150).

6.2. Bas-Empire

L’agglomération semble abandonnée au-delà du IIIe siècle. Selon C. Mercier ce phénomène s’explique par un fort alluvionnement du secteur dès le Bas-Empire entraînant ainsi une désertion de la voie, et du site, au profit de l’itinéraire protohistorique, surélevé par rapport à la plaine alluviale.

 

 

  1. Synthèse sur la dynamique d’occupation

 

Le site antique du Gué Farou est situé sur le territoire des communes de Domblans et de Bréry, de part et d’autre de la rivière la Seille qui sert de limite à ces communes au point de franchissement de celle-ci par la route départementale. À ce point de passage à gué de la voie Lyon-Besançon se développe ainsi une agglomération antique, à l’écart de la zone inondable de la rivière. Repérée seulement par prospection au sol, son organisation interne reste inconnue dans l’état actuel des recherches. Le site se trouve néanmoins à un endroit stratégique, sur cette voie, au débouché des reculées de Baume-les-Messieurs et de Blois-sur-Seille, qui constituent un point de communication avec le massif jurassien. Les vestiges protohistoriques et antiques repérés dans la première plaine alluviale de la Seille, autour de Domblans, prouvent l’importance du secteur. Occupée durant tout le Haut-Empire, l’agglomération antique de Gué Farou constitue un relais supplémentaire sur la voie Lyon-Strasbourg, via Besançon, avec les sites de Grozon, Lons-le-Saunier ou Vincelles. L’habitat groupé de Domblans possède d’ailleurs des caractéristiques similaires avec cette dernière agglomération. L’habitat groupé de bord de voie attesté à Domblans développe également une activité artisanale métallurgique comme le prouvent les scories collectées en prospection au sol. D’après les données disponibles, cet artisanat pourrait avoir un lien avec celui détecté en fouille sur l’habitat des Bauches. Un transfert de l’activité aurait ainsi pu avoir lieu entre cet habitat occupé seulement au début du Ier siècle de notre ère, et l’agglomération fréquentée entre le Ier et le IIIe siècle. Cette hypothèse demande bien sûr à être corroborée par de nouvelles études sur l’agglomération antique du Gué Farou. Au-delà de la période tardo-antique, plus aucune occupation n’est attestée au Gué Farou. Une nécropole mérovingienne a toutefois été repérée juste à l’est, à la Vigne Sarrazine. Il est d’ailleurs probable que cette occupation succède à un habitat du Haut Empire. L’existence d’une monnaie sous le bourg de Domblans pourrait également permettre de situer une occupation au VIe siècle, dans ce secteur.

 

 

8. Perspectives de recherche

 

Le site est aujourd’hui encore entièrement accessible, ce qui permettrait de réaliser une prospection géophysique afin d’obtenir les premières données sur l’organisation spatiale interne de l’agglomération. La mise en place d’une nouvelle prospection au sol serait également un moyen direct de vérifier l’étendue du site et de collecter des données sur le faciès chronologique de l’occupation.

 

 

9. Bibliographie

 

Aubert 1984 : AUBERT (J.) – Rapport de prospection aérienne, SRA Franche-Comté, Besançon, 1984, n. p.

 

Aubert 1985 : AUBERT (J.) – Rapport de prospection aérienne, SRA Franche-Comté, Besançon, 1985, n. p.

 

Billoin 2001 : BILLOIN (D.) – Domblans, « Les Bauches », SRA Franche-Comté, Besançon, 2001, 13 p.

 

Billoin, Humbert 2009 : BILLOIN (D.), HUMBERT (S.) – Domblans (Jura), Les Bauches, SRA Franche-Comté, Besançon, 2009, 57 p.

 

Bruand 1814 : BRUAND (A.-J.) – Annuaire de la préfecture du Jura pour l’an 1814 contenant des détails historiques et statistiques, impr. Gauthier, Lons-le-Saunier, 1814, 278 p.

 

Card 2011 : CARD (C.) – Bâtiment et forge de la première moitié du Ier siècle de notre ère et structures agraires d’époque moderne, SRA Franche-Comté, Besançon, 2011, 193 p.

 

Chouquer 1979 : CHOUQUER (G.) – Rapport de prospection aérienne, SRA Franche-Comté, Besançon, 1979, n. p.

 

Chouquer 1992 : CHOUQUER (G.) – Rapport de prospection aérienne, SRA Franche-Comté, Besançon, 1992, n. p.

 

Mercier 1986 : MERCIER (M.) – Domblans (Jura), In : Mangin (M.), Jacquet (B), Jacob (J.-P.) – Les agglomérations secondaires en Franche-Comté romaine, Annales Littéraires de l’Université de Besançon, Besançon, 1986, p. 149-153.

 

Monnier 1845 : MONNIER (D.) – Annales anciennes : note pour l’histoire particulière des communes du département du Jura, Annuaire de la préfecture du département du Jura, 1845, p. 49-195.

 

Nowicki 1997 : NOWICKI (P.) – En Villan – Cham Ramboz, Domblans (39), SRA Franche-Comté, Besançon, 1997, n. p.

 

Nowicki 1998 : NOWICKI (P.) – Domblans (39), Prés Mourain, SRA Franche-Comté, Besançon, 1998, 23 p.

 

Rousset 1853-1858 : ROUSSET (A.) – Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent classés par département ; département du Jura, Bintot impr., Besançon, 1853-1858, 6 vol.

 

Rothé 2001 : ROTHE (M.-P.) – Domblans, Carte Archéologique de la Gaule : Le Jura 39, Académie des Inscriptions et des Belles Lettres, Paris, 2001, p. 360-364.

Loïc Gaëtan

Illustrations Domblans