Fouvent-Saint-Andoche et Argillières (Haute-Saône)

1. Localisation et emprise connue de l’occupation

 

Fouvent-Saint-Andoche et Argillières sont deux communes limitrophes installées à la frontière entre les territoires séquane et lingon. La capitale de cité, Langres, et la voie du Rhin sont d’ailleurs distantes d’un peu moins de 40 km. Plus proche, l’agglomération antique de Seveux-Savoyeux est située à une dizaine de kilomètres au nord-est. Quant au petit habitat groupé de Larret, découvert récemment dans une commune voisine, il s’insère le long de la voie de Besançon à Langres qui traverse également Fouvent-Saint-Andoche au sud du territoire communal.

À ce titre, l’occupation antique de Fouvent-Saint-Andoche et Argillières est à appréhender comme un complément à la notice focalisée sur le site de Larret et réalisée en 2014 (Venault et Nouvel 2014 : 193-199). Rappelons qu’il s’agit sûrement d’une petite station routière longiforme, d’une surface présumée d’environ 4 hectares, dont la destinée parait étroitement liée à la mise en place du réseau viaire (développement entre le Ier et le IIIe siècle). Il est probable qu’il s’agisse du site de Varcia mentionné dans la table de Peutinger.

Une nouvelle fois, il est difficile d’argumenter sur l’emprise d’une occupation antique qui semble essentiellement constituée par des éléments dispersés structurés par le réseau viaire. Une présence préhistorique est attestée aux alentours de la source du Vannon, la principale rivière locale, alors que la protohistoire est muette dans les données archéologiques. Enfin, un espace funéraire alto-médiéval surplombe le bourg moderne de Fouvent-le-Bas.

 

2. Cadre naturel

 

2.1. Topographie, Géologie

 

Nous nous situons dans le Val de Saône, au pied du plateau de Langres et sur un plateau calcaire dont l’altitude varie entre 212 et 368 m. Le territoire est traversé par des dépôts d’alluvions actuelles et récentes qui coïncident au sud avec le cours du Vannon. Le paysage est animé par collines calcaires boisées et est ponctué de formations de limons des plateaux et d’argiles d’altération (Cénozoïque). On remarque aussi une saillie de la formation de la Dalle nacrée (Callovien inférieur) vers l’ouest.

 

2.2. Hydrographie

 

Le Vannon, affluant de la Saône, est une petite rivière qui serpente à travers la commune de Fouvent-Saint-Andoche. La base de données de la BRGM fait également état de plusieurs sources localisées au niveau de Fouvent-le-Bas et Fouvent-le-Haut, ainsi que d’un entonnoir-perte qui apparait au nord-ouest de Saint-Andoche, non loin des ruines des Champs Ray.

 

3. Etat de connaissances

 

3.1. Sources

 

Nos principales sources documentaires ne remontent pas au-delà de la seconde moitié du XIXe siècle, même si elles font souvent état de découvertes ou de traditions antérieures. Comme souvent, ce sont les publications de synthèse à propos de l’occupation ancienne de la Haute-Saône qui fournissent la plupart des informations (Dieu 1858, Matty de Latour 1865, Suchaux 1866, Poly s.d. et Poly 1897). Elles sont complétées par des publications à propos de sites spécifiques rédigées par P.-V. Travelet, A. Travelet, P. Petitclerc ou l’abbé Rossignot (Travelet 1869, Petitclerc et Travelet 1879, Rossignot 1884a et 1884b).

Il faut ensuite attendre une série de nouvelles découvertes au cours des années 60 pour que la commune réapparaisse dans les publications mais toujours de façon anecdotique, car elles ne donneront lieu à aucune véritable investigation sur le terrain. Enfin, les recherches de C. Morin ne concernent la commune que de façon superficielle (Morin 1994).

 

3.2. Historique des recherches

 

Il s’agit pour l’essentiel de découvertes fortuites, ponctuées par des fouilles anciennes parfois relativement bien documentées (les sondages de Matty de Latour) et parfois rapportées avec une excessive concision (les fouilles de l’habitat d’Argillières). La commune n’a pas fait l’objet de campagnes de prospections systématiques, ni d’intervention archéologique moderne. Les témoignages oraux matérialisent quelques tentatives de repérage au sol afin de vérifier les descriptions anciennes.

 

4. Organisation spatiale

 

4.1. Voirie

 

Le principal axe de circulation correspond à la voie antique reliant Besançon à Langres identifiée entre Larret et Aumonière, un hameau proche de Pierrecourt. Elle reprend plus ou moins le tracé de la RD 5 et longe la limite communale au sud [UD 3]. La chaussée a été exhumée à plusieurs reprises grâce à des sondages effectués par N.G. Matty de Latour au XIXe siècle. L’ingénieur constate d’ailleurs un décrochage de quelques mètres au niveau de la ferme de Brévautey qui n’est pas lié à une contrainte topographique mais sans doute à un obstacle qui doit coïncider avec l’établissement rural éponyme (Matty de Latour 1865 volume 3 : p. 85 fouille 227-228). Une configuration d’autant plus curieuse qu’au niveau de Larret, le tracé de la voie semble intimement lié à la topographie. À l’ouest de la ferme de Brévautey, le sondage a révélé une voie qui ferait environ 4 m de large et serait bordée de chaque côté par « deux lignes » (Matty de Latour 1865 volume 3 : p. 89 fouille 236), sans doute des bordures de fondation et non des fossés d’après l’auteur.

Les autres segments de voie sont beaucoup moins bien documentés. Un axe secondaire se prolongerait vers le nord en recoupant plus ou moins le chemin rural des Gilley, jusqu’à croiser une seconde chaussée transversale au niveau du lieu-dit les Pérouses, qui elle se dirigerait notamment en direction de Argillières (Travelet 1869 : XLVI) [UD 1]. P.-V. Travelet indique avoir reconnu le pavé antique sur au moins 10 m.

F. Poly, à la suite de P.-V. Travelet, signale également une voie qui recouperait le chemin des Etroits et desservirait le « camp » du mont Champot [UD 2]. Enfin, les témoignages oraux, recoupés par l’étude des campagnes de photographie aérienne historiques de l’IGN, permettent de replacer une voie au qui longerait le bois de la Forêt au niveau des ruines des Champs Ray inscrites dans l’Atlas Dieu (Dieu 1858) [UD 4].

 

4.2. Le bâti

 

Il faut sans doute envisager la présence d’au moins deux grands établissements ruraux dans ce secteur. Le premier serait situé au bord de la voie entre Besançon et Langres, au niveau de la ferme de Brévautey [UD 10]. En effet, les sources anciennes mentionnent des vestiges de constructions (murs, tuiles, puits, etc.) dont au moins une grande pièce pavée surmontée d’une couche de destruction constituée de bois brûlé, de fragments de terre cuite architecturales et de tesselles (Matty de Latour 1865 volume 3 : p. 81). La situation au lieu-dit Raufroid (actuellement Les Longues Pièces) à Argillières est plus difficile à évaluer [UD 12]. L’abbé Rossignot et M. Aillet ont fouillé au moins trois constructions dans ce secteur qui a livré une quantité considérable de terres cuites architecturales et de matériel. Les auteurs indiquent que cette occupation s’étendait sur une surface d’environ 30 hectares (Rossignot 1884b : 238-240), un chiffre qui parait déraisonnable comparativement à l’envergure de l’habitat identifié à Larret. D’ailleurs, l’abbé Rossignol introduit le terme de « village » dans le texte. Compte tenu de la situation du site, par rapport à Larret qui est situé au bord d’une voie importante et apparait sur les itinéraires antiques, il paraît plus raisonnable d’envisager un grand établissement rural. Cette opinion coïncide avec les témoignages oraux et les récits postérieurs de l’auteur. On apprend également que ces constructions disposaient des fondations formées « par de fortes pierres placées de champ et reliées en quelques endroits par du ciment.  C’est sur ce hérisson que s’élèvent des murs fort bien construits en petit appareil » (Rossignot 1884a).

L’interprétation des ruines des Champs Ray, qui figurent dans l’Atlas Dieu (Dieu 1858), se révèle tout aussi délicate [UD 11]. L’emprise d’une construction ainsi que les concentrations de terres cuites apparaissent clairement sur certaines campagnes aériennes de l’IGN. Au même titre, la description du site du Mont Champot se limite à la présence de débris de terres cuites architecturales inscrits dans un espace quadrangulaire dont les fossés ont été « cristallisés » dans la végétation (Suchaux 1866 Volume 1 : 270) [UD 5].

 

4.3. Nécropole

 

Nous ne disposons d’aucune information qui décrirait le contexte de découverte d’une nécropole du haut Moyen Âge à proximité du Mont Champot [UD 6]. Le site apparait pour la première fois dans l’Atlas Dieu (Dieu 1858) sous la mention « sarcophage ». Cette trouvaille est confirmée par L. Suchaux qui confirme la présence de plusieurs sarcophages. Le matériel de l’une de ces sépultures est conservé au musée de Vesoul. Le donateur n’est autre que M. Aillet et il est envisageable qu’il soit intervenu sur le site.

 

4.4. Etendue supposée et remarques

 

Nous ne maîtrisons que très partiellement l’organisation du territoire dans ce secteur. Autant qu’on puisse en juger, nous sommes face à des habitats dispersés implantés en relation plus ou moins directe avec le réseau de voies. Ces sites sont ventilés sur l’emprise des deux communes et ne permettent pas d’envisager une occupation de type habitat groupé comme c’est le cas pour Larret.

 

5. Nature de l’occupation et pertinence des éléments de caractérisation

 

5.1. Artisanat

 

Deux ateliers de céramique ont été identifiés avec certitude sur le territoire de Fouvent-Saint-Andoche. Le premier est localisé au lieu-dit en Saintibus [UD 9] et est mentionné dans un manuscrit de F. Poly aujourd’hui disparu (Poly s.d.). L’auteur y décrit la présence d’un four et de fragments de céramique commune dont deux estampilles de sigillée. Le second, situé au lieu-dit En Hermitrey, a été mis au jour en 1964 lors du creusement d’un point d’eau [UD 8]. Il a livré de nombreux tessons de céramique commune claire dont des ratés de cuisson. Une vérification, opérée sur le site avant 1990, a révélé au même endroit des tuiles vitrifiées qui tendraient à confirmer la vocation artisanale de ce site (Charlier 1993).

La caractérisation du site des Champs Ray est plus incertaine. L’emprise de l’occupation semble relativement limitée et la quantité des fragments de céramique, dont provient au moins un moule de sigillée, nous inciterait aussi à l’interpréter comme un lieu de production. Par ailleurs, nous ne sommes distants que d’un kilomètre du site de l’Hermitrey.

 

5.2. Habitat domestique

 

Par extension, la même incertitude pèse sur une potentielle identification en tant qu’habitat pour le site des Champs Ray, car les vestiges devaient être considérables pour bénéficier de la dénomination de « ruine » dans l’Atlas Dieu. Le statut d’établissement rural du site de la ferme de Brévautey est mieux assuré comme nous l’avons vu. Quant à l’occupation des Raufroid, malgré la teneur de la description de l’abbé Rossignot et de M. Aillet lors de la découverte (Rossignot 1884b : 238-240), le compte-rendu de 1904 (MSED 1904) évoque bien une exploitation rurale. Le potentiel archéologique de la commune est sans doute sous-estimé, car L. Suchaux signale « sur plusieurs points du village, restes de constructions enfouis sous des couches de terre qui ont deux mètres plus d’épaisseur » (Suchaux 1866 Volume 1 : 25).

Le cas du Mont Champot est plus singulier. Il est interprété par défaut comme un « camp antique » en s’appuyant sur les auteurs anciens. Au-delà des découvertes effectuées sur place, qui offrent peu de perspectives si ce n’est l’identification d’une occupation antique indéterminée (monnaies du Haut et du Bas-Empire). La forme et le contexte du site se révèlent plus intéressants : site en position de surplomb, avec peut-être une enceinte, dans une zone qui concentre les découvertes alto-médiévales.

 

5.3. Vie religieuse

 

Nous ne disposons d’aucune information relative à la présence d’activités religieuses.

 

5.4. Installations publiques

 

Nous ne disposons d’aucune information relative à la présence d’installations publiques.

 

6. Chronologie et critères de datation

 

6.1. La Tène

 

Aucun élément pertinent ne permet d’évaluer l’occupation laténienne du site, nous disposons seulement de deux potins retrouvés dans la commune mais sans contexte de découverte (BN 8319 et 8329).

 

6.2. Haut-Empire et Bas-Empire

 

Les sites qui nous sont connus semblent, pour les plus précoces, apparaitre au cours du Ier siècle, ce qui est cohérent avec la situation observée à Larret même si, là aussi, les marqueurs chronologiques disponibles sont peu nombreux.

Parmi la quantité non négligeable de mobilier extrait des vestiges de l’occupation des Raufroid (outils en fer, fibules en bronze, céramique commune claire et sigillée), l’unique monnaie qui nous est connue est un moyen bronze de Claude. Une production de cruche à deux anses, contemporaine du même empereur, provient de l’atelier du Hermitrey. Plus généralement, le mobilier retrouvé au Mont Champot et à la ferme de Brévautey correspond à une occupation antique au sens large, à cheval sur le Haut-Empire et le Bas-Empire.

 

6.3. Haut Moyen Age

 

Si aucun matériel ne vient confirmer une réoccupation alto-médiévale du Mont Champot, le matériel issu d’une des sépultures retrouvées dans la nécropole toute proche est daté du VIIe siècle : une grande plaque de ceinture damasquinée en argent ornée de trois boutons en bronze (troisième quart du VIIe siècle), plaque ceinture « simple », fragment de poignard, ardillon de ceinture, instrument en fer et deux perles en ambre. Le triens d’or retrouvé une centaine de mètres en contrebas [UD 7] correspond au même intervalle chronologique (émission vers 620).

 

7. Synthèse sur la dynamique d’occupation

 

Si nous mettons en parallèle les études qui portent sur Larret, Argillières et Fouvent-Saint-Andoche, il est alors possible d’esquisser les grandes tendances de la dynamique d’occupation. Sur les trois territoires communaux, les sites semblent émerger au début de la période gallo-romaine et ces structures paraissent être en étroite relation avec la mise en place de la voierie. Cette situation est particulièrement claire pour Larret, petite station routière dont les constructions se succèdent de part et d’autre de la voie, mais aussi pour les habitats dispersés de la ferme de Brévautey, du Raufroid et des Champs Ray qui jouxtent eux aussi la chaussée. L’occupation antique du Mont Champot est semble-t-il desservie par un décrochement de la voie transversale, matérialisé à cet endroit par le chemin des Etroits. Les espaces artisanaux semblent quant à eux un peu en retrait du réseau mais ils sont peut-être desservis, eux aussi, par des chemins qui ne nous sont pas connus. La question de leur dépendance vis-à-vis des autres occupations se pose également, en particulier pour le site du Hermitrey dont l’apparente activité précoce est souvent considérée comme un indice de la présence d’un habitat groupé. Il semble que le dynamisme de Larret s’essouffle assez vite et que l’habitat décline à partir du IIIe siècle. Malheureusement, nos données ne sont pas assez précises pour évaluer la situation des autres occupations pour la fin de l’Antiquité même si on peut signaler que le matériel semble globalement plus riche pour la période du Haut-Empire. La transition qui s’amorce au haut Moyen Âge reste très hypothétique étant donné que la nécropole est le seul site bien identifié pour cette période.

 

8. Perspectives de recherche

 

Les deux sites du Raufroid et des Champs Ray paraissent avoir un fort potentiel et n’avoir été explorés que sur une fraction de l’emprise réelle des vestiges. Il serait sans doute intéressant de mener des prospections afin d’obtenir une idée plus précise de leur envergure et de leur chronologie. Le Mont Champot nous paraît aussi mériter une attention particulière même si le site est aujourd’hui en friche en bordure des anciennes parcelles viticoles. Il serait utile dans un premier temps d’essayer de circonscrire l’occupation décrite de façon assez vague dans les sources anciennes puis de préciser sa chronologie.

 

9. Bibliographie

 

M.S.E.D. = Mémoires de la Société d’émulation du Doubs

S.A.L.S.A. = Société d’Agriculture, Lettres, Sciences et Arts de la Haute-Saône

 

Charlier F., 1990 : « Inventaire des ateliers céramiques en Franche- Comté romaine », in Bet P. (dir), 1990. Les ateliers de productions céramiques dans l’est de la Gaule; méthodologie: comptage et quantification en céramologie, Actes du Congrès de la S.F.E.C.A.G., Mandeure-Mathay (24-27 mai 1990), Marseille, S.F.E.C.A.G., p. 15-28

Dieu H., 1858 : Atlas cantonal du département de la Haute-Saône dressé sous la direction de M. Dieu, préfet, par les agents-voyers du département, gravé par E.Schieble, Paris, imp. Lemercier, 1858, 29 cartes.

Lerat L., 1966 : « Informations archéologiques. Circonscription de Franche-Comté, Haute-Saône », Gallia, Paris, Gallia, p. 344-351 (numéro 24 fascicule 2)

Morin C., 1994 : Prospections de la haute vallée de la Saône et des plateaux de l’ouest du département hautsaônois, D.F.S. de prospection, Besançon, Service régional de l’archéologie de Franche-Comté

Petitclerc P. et Travelet A., 1879. : Catalogues du musée de la société d’Agriculture de la Haute-Saône, Annexe au Bulletin de l’année 1878, n° 1, Travaux de la Section d’Archéologie, Vesoul, 37 p.

Poly F., s.d. : « La Haute-Saône sous la domination des Romains. 1ère partie: les voies romaines », Bull. S.A.L.S.A., Vesoul, A. Suchaux, p. 1-138. (3e série, numéro 28)

Poly F., 1897 : « La Haute-Saône sous la domination des Romains. 1ère partie: les voies romaines », Bull. S.A.L.S.A., Vesoul, A. Suchaux, p. 1-138. (3e série, numéro 28)

Rossignot A. abbé, 1884a : « Etude sur un terrier d’Argillières », Bull. S.A.L.S.A., Vesoul, A. Suchaux, p. 238-259. (3e série, numéro 15)

Rossignot A. abbé, 1884b : « Les Fouilles de Valleroy », Bull. S.A.L.S.A., Vesoul, A. Suchaux, p. 119-126. (3e série, numéro 15)

Société d’Emulation du Doubs, 1904 : « Compte-rendu des séances pour l’année 1904 » M.S.E.D., Besançon, M.S.E.D., p. XIII (Série 3, Volume 2)

Suchaux L., 1866 : La Haute-Saône. Dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, avec plans et dessins, Vesoul, impr. A. Suchaux, 2 vol.

Thévenin A., 1968 : Les cimetières mérovingiens de la Haute-Saône, Paris, Les Belles-Lettres, 123 p. (A.L.U.B., 89, archéologie, 20)

Travelet P.-V., 1869 : « [note sur une voie pavée à Fouvent], Communication du 15 décembre 1869 », M.S.E.D., Besançon, p. XLVI. (4e série, tome 5)

Venault S. et Nouvel P. (dir), 2014 : Projet collectif de recherche, Agglomérations antiques de Bourgogne, Franche-Comté et Champagne méridionale, inventaire archéologique, cartographie et analyses spatiales, rapport d’activité 2014, Besançon, UMR Chrono environnement, 880 p.

Damien Vurpillot

Illustrations Fouvent