Pontoux (Saône-et-Loire)

1. Localisation et emprise connue de l’occupation

 

Située non loin du peuple Eduen, l’agglomération antique séquane de Pontoux se trouve sur la rive gauche du Doubs, non loin de sa confluence avec la Saône dans le département de Saône-et-Loire. Elle se développe ainsi à un passage à gué d’un tronçon de la voie d’Agrippa reliant Châlon-sur-Saône à Besançon. Aujourd’hui le bourg de Pontoux recouvre très vraisemblablement le Pons Dubis de la Table de Peutinger. Même si une agglomération est ici supposée, les découvertes sont très peu nombreuses dans la bibliographie. Ce sont en réalité les découvertes effectuées dans le Doubs à hauteur de Pontoux qui indiquent la vitalité de cette agglomération dans l’Antiquité et le haut Moyen-Age. Les structures bâties sont totalement absentes des découvertes réalisées depuis le XIXe siècle sur cette localité. Pontoux se développe grâce à cette position géographique. Le commerce et l’activité portuaire seront sans aucun doute les principales sources de revenus de l’agglomération. En étudiant l’agglomération de Pontoux, il est essentiel de prendre en compte également la commune de Charnay-lès-Châlon, située sur la rive droite du Doubs. De nombreux sites en lien avec l’agglomération et la voie d’Agrippa sont recensés sur ce territoire.

 

 

2. Cadre naturel

 

2.1. Topographie, Géologie, Hydrographie

L’agglomération antique de Pontoux, tout comme le bourg actuel, est située sur la rive gauche du Doubs. Celle-ci va se développer sur un petit relief dominant la rivière d’une altitude de 189 m. Le site se trouve non loin de la région importante de la confluence du Doubs et de la Saône à quelques kilomètres, à Verdun-sur-le-Doubs. Nous nous trouvons ici dans la région de la Bresse bourguignonne, dans la vallée du Doubs.

 

 

3. Etat des connaissances

 

3.1. Sources

Pontoux correspond très vraisemblablement au Pons Dubis de la Table de Peutinger, signifiant d’ailleurs « pont sur le Doubs ». Il s’agit du seul endroit où la voie traverse cette rivière.

La documentation concernant cette agglomération reste très peu abondante dans la bibliographie. L’essentiel des découvertes provient des dragages effectués dans le Doubs dans les années 1960. Les indices de structures au sol sont quant à elles quasi inexistants dans l’état actuel des recherches. Seuls le franchissement du Doubs par la voie d’Agrippa et l’abondance des découvertes dans le lit de la rivière nous amènent à supposer l’existence d’une agglomération ici même.

 

3.2. Historique des recherches

Au cours du XIXe siècle, les principales découvertes vont avoir lieu sur la commune de Charnay-lès-Châlon, et notamment sous le village lors de différents travaux. On trouve ainsi de très nombreuses tuiles tout autour du village de Charnay, ainsi que des monnaies romaines. Dans le bourg, vers 1830, lors de la construction d’un bâtiment à l’emplacement du château et vers l’église, on a observé des constructions romaines décorées de placage en marbre, dans lesquelles on a trouvé une meule et des monnaies (UI n° 10 et 11). Mais la découverte la plus importante sur la commune correspond à une vaste nécropole mérovingienne située au nord-est du village (UI n° 16). Fouillée de 1832 à 1860 par H. Baudot, le nombre de sépultures dégagées ou observées est estimé à plusieurs centaines par Baudot. Malheureusement, cette fouille a été effectuée sans qu’il y ait d’enregistrement des sépultures : on ne dispose d’aucun assemblage par tombe. Toutes les sépultures sont en pleine terre, rarement on rencontre des petits aménagements en pierre près de la tête, formés de fragments de sarcophages. Aucun n’a été trouvé entier. Les aménagements semblent avoir été réservés aux sépultures les plus riches, qui se trouvaient en haut de la pente. Le mobilier découvert par Baudot a été partiellement publié par catégories d’objets (Baudot 1874-1877). L’examen de cet inventaire indique à l’évidence que l’essentiel du matériel publié par Baudot date de la seconde moitié du VIe au VIIIe siècle. Il convient toutefois de relever un certain nombre d’indices, indiquant à nos yeux la présence de sépultures antérieures, attribuables à la sphère militaire romaine, germanique fédérée ou d’époque burgonde (Kasprzyk 2005, p. 243, vol. 2). La fouille de cette nécropole va se poursuivre en 1862 après la découverte d’une nécropole romaine, « à l’opposé des découvertes mérovingiennes » (UI n° 18). Datant du Haut-Empire, cette nécropole à incinération a également livré de très nombreux objets publiés par H. Baudot (1874-1877, p. 223-274).

En ce qui concerne, la commune même de Pontoux, l’essentiel des découvertes va se faire dans les années 1960 lors des dragages opérés dans le Doubs (UI n° 1). L’ensemble de ces travaux vont être en partie surveillé par L. Bonnamour qui relate fréquemment les découvertes dans les Mémoires de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Châlon-sur-Saône (1967 ; 1970 ; 1971 ; 1984 ; 1988). Les dragages effectués à Pontoux ont ainsi livré un abondant mobilier (armes, outils, vaisselle métallique, céramique…), s’échelonnant de l’Age du Bronze à la période médiévale. Ces découvertes montrent l’importance de l’occupation des berges à cet endroit depuis le Ier siècle jusqu’à la période carolingienne. Lors d’un des dragages, en 1968, le pont traversant le Doubs a pu être observé. Celui-ci avait déjà été aperçu au XIXe siècle, mais également au printemps 1958 lors d’une période de sécheresse. De nouvelles investigations sur cet ouvrage ont été menées en 2008 afin de préciser les méthodes de construction et sa chronologie (UI n° 7 ; Dumont, Bonnamour 2011).

Des prospections-inventaires réalisées en 1995 par A. Daubigney et au début des années 2000, par C. Sauty (UI n° 5, 6 et 14), vont permettre d’identifier de nouveaux sites à proximité de l’agglomération et de la voie (Sauty 2001 ; 2002 ; 2003). D’autres investigations sont menées dès 2010 sur le pont et son environnement immédiat. Ainsi, en plus de la prospection subaquatique, des étudiants de l’Université de Bourgogne vont mener des prospections géophysiques sur de petites fenêtres, de part et d’autre du Doubs, à hauteur de la voie d’Agrippa (UI n° 8 et 19). L’objectif est alors de repérer le tracé exact de la voie ainsi que des potentiels bâtiments. Suite à ces prospections, la voie n’a pas été retrouvée mais une série d’anomalies dans le sous-sol a pu être mise en évidence sans pour autant déterminer la nature même de cette occupation. Sur la rive droite de la rivière, la prospection au magnétomètre a permis de mettre en évidence un bâtiment probablement d’époque romaine mais dont la partie sud-ouest a été érodée par la dynamique du Doubs. Le sondage réalisé à Pontoux a révélé des lits de graviers riches en matériel archéologique intercalés de lits silto-argileux de débordement du Doubs révélant une occupation ou/et une circulation aux abords de la rivière à la fin de l’Antiquité tardive (UI  n° 9). Ces recharges nous permettent de dire qu’il est probable que le niveau de circulation du pont se situait au moins à 178,5 m d’altitude. Ensuite les niveaux semblent avoir été mélangés par les labours successifs au cours du Moyen-Age. Ce sondage a également révélé la présence de deux inhumations datant vraisemblablement du haut Moyen-Age (avant la fin du VIIIe siècle), au débouché du pont (Steinmann et al. 2010).

 

 

4. Organisation spatiale

 

Les multiples découvertes réalisées dans le Doubs et les prospections géophysiques effectuées en 2010 laissent penser à une occupation des berges du Doubs ainsi que des abords de la voie d’Agrippa. Toutefois, il est aujourd’hui impossible de dire l’importance et l’étendue de cette occupation.

 

4.1. Voirie (UD n° 1)

La voie d’Agrippa traverse du sud au nord l’agglomération de Pontoux avant de bifurquer à l’ouest, en direction du Doubs pour le traverser et ensuite le longer sur sa rive droite. Cette voie doit très certainement constituer l’épine dorsale de l’agglomération, sur laquelle doit se greffer l’habitat. Celle-ci n’a jamais été repérée lors des sondages et prospections géophysiques réalisés sur son tracé. Toutefois, les prospections subaquatiques de 2008 et les diverses observations depuis le XIXe siècle ont permis d’en connaître davantage sur le pont permettant à la voie de franchir le Doubs. Les dragages des années 1960 ont peu à peu détruit les piles du pont qui étaient encore visibles à la fin du XIXe. Aujourd’hui aucun pont ne traverse le Doubs à Pontoux. En 2008, une campagne de prospection subaquatique a été réalisée sur le site afin d’en vérifier l’état. Des éléments sont conservés seulement sur une partie du lit de la rivière du côté de Pontoux. Dans l’autre moitié, les dragages ont été trop importants pour avoir pu conserver quelques vestiges. Les vestiges ont été observés sur une largeur de 6,50 m environ pour une longueur de pile de près de 19 m. Cet étalement des vestiges laisse penser que plusieurs états de ponts ont dû exister à Pontoux. Une datation C14 d’un pieu donne une datation de 400-550 ap. J.-C. Celle-ci confirme l’existence de ce passage encore à l’époque tardo-antique voire même mérovingienne, à mettre en relation avec la nécropole mérovingienne de Charnay-lès-Chalon. De l’autre côté de la rive. La datation la plus précoce se situé aux alentours de 50 av. J.-C.-50 ap. J.-C. La restitution générale du pont nous amène à un édifice d’au moins 7 piles dont trois auraient été entièrement détruites, deux seraient partiellement conservées dans le chenal, une serait enfouie sous l’île côté rive droite, et peut-être une partie d’une autre (pile I) serait préservée sous la rive gauche. On ne connaît cependant pas la largeur du Doubs à l’époque gallo-romaine ni l’extension de ce pont.

Il n’existe aucun élément dans le paysage actuel qui pourrait laisser deviner l’existence de ce pont, à l’exception du tracé de la limite séparant les deux communes localisées de part et d’autre de la rivière. À l’emplacement du pont, la limite avec Charnay-lès-Chalon marque à cet endroit précis un écart très net. Sur la carte IGN 1/25 000, en rive droite, un chemin arrive à l’emplacement du pont en droite ligne depuis Charnay, et sur la rive gauche, on note la présence du toponyme Les Vies qui témoigne généralement de l’existence d’une voie ancienne.

 

4.2. Le bâti (UD n° 5 et 18)

Le bâti de l’agglomération antique de Pontoux nous est aujourd’hui inconnu. Il devait toutefois se situer de part et d’autre de la rivière, le long de la voie d’Agrippa ; le cœur même de l’agglomération se trouvant sur la rive droite du Doubs. Les sondages réalisés en 2010 ont révélé que le cours du Doubs a beaucoup fluctué au cours du temps ensevelissant alors en partie les structures bâties présentes le long de sa rive. Les phénomènes d’érosion sont également importants.

 

4.3. Nécropole (UD n° 15 et 17)

Aucune nécropole antique n’a été repérée sur le territoire de la commune de Pontoux, liée à l’agglomération antique. Une nécropole du Haut-Empire est cependant présente à Charnay-lès-Châlon au lieu-dit Coteau de la Pierre. En partie fouillée en 1862 par H. Baudot, elle se caractérise par la présence de fosses dans une couche cendreuse et une zone d’épandage. Baudot décrit plusieurs sépultures, dont une se trouvant dans un gobelet à dépression qui contenait une monnaie de Trajan et un torque en fer. Dans la fosse a également été recueilli un glaive plié ; il semble s’agir d’une tombe auxiliaire. Une nécropole de la fin de l’Antiquité et de l’époque mérovingienne va succéder à celle du Coteau des Pierres. Fouillée entre 1832 et 1860, elle est composée de plusieurs centaines de tombes riches en mobilier.

Deux inhumations du haut Moyen-Age ont été mises au jour lors d’un sondage en 2010 en bordure de voie, à Pontoux (UD n° 6). Celles-ci se trouvent en bordure de voie et prouvent une fois de plus que les berges sont encore occupées à cette époque.

 

 

5. Nature de l’occupation et pertinence des éléments de caractérisation

 

Les seuls indices d’artisanat du fer concernent un site situé aux Chagnots, probablement sur un petit établissement rural (UD n° 2). Quelques scories de fer ont alors été découvertes en prospection pédestre en 2001. La présence d’un artisanat au sein de l’agglomération antique de Pontoux reste totalement méconnue, au même titre que son organisation spatiale. Il en est de même avec le domaine religieux ou public. Aucune structure et aucun indice ne viennent confirmer cette présence. L’agglomération a toutefois très certainement dû se développer grâce à sa position de carrefour routier et fluvial. De par ces conditions, le commerce y était omniprésent.

6. Chronologie et critères de datation

 

En l’absence de fouilles et de découvertes in-situ, il est très difficile d’établir une chronologie d’occupation du site de Pontoux.

 

6.1. Haut-Empire

De manière générale l’agglomération de Pontoux semble occuper durant toute l’époque romaine, dès le Ier siècle de notre ère. L’abondance du mobilier du Haut-Empire découvert dans le Doubs l’atteste. Il faut également souligner que le nombre d’armes romaines et du haut Moyen-Age trouvées dans la rivière est suffisamment élevé pour que l’on puisse envisager la présence de militaires sur le site durant toute l’Antiquité et le haut Moyen-Age. Pour l’Haut-Empire furent retrouvés : deux spathae, un poignard du Ier siècle, deux cottes de mailles…).

 

6.2. Bas-Empire

Une occupation semble perdurer sur le site jusqu’au Ve siècle comme le prouve, là aussi, le mobilier découvert dans le Doubs. Nous pouvons, entre autres, signaler la découverte d’une spatha de la fin du Ve ou du début du VIe siècle (la chape d’entrée du fourreau encore conservée est constituée d’une bande d’argent doré rivetée à l’arrière de la lame et décorée d’un motif cloisonné en argent et grenat ; deux plats en bronze à larges lèvres formant marli décorées d’une incision (sa forme s’apparente très nettement à des formes en sigillée claire B et luisante, du IIIe ou du début du IVe siècle) ; un basson en bronze à fond arrondi et panse droite éversée avec trace de suie datant du Ve-VIIe siècle.

 

            6.3. Haut Moyen-Age

Durant le haut Moyen-Age, le site semble toujours occupé comme le prouve notamment l’importante nécropole mérovingienne découverte sur la commune de Charnay-lès-Châlon. Le site de Pontoux lui-même est également toujours fréquenté puisque deux inhumations de cette période furent mises au jour à proximité de la voie. Le pont sur le Doubs est également toujours là et permet le passage d’une rive à l’autre.

 

 

7. Synthèse sur la dynamique d’occupation

 

Grâce à l’abondance de mobilier découvert dans le Doubs et à cette position géographique, une agglomération antique a sans aucun doute dû se développer sur la rive gauche du Doubs. Organisée le long de la rivière et de la voie d’Agrippa, celle-ci s’est développée du Ier siècle jusqu’au IVe-Ve siècle de notre ère, et semble même toujours fréquentée durant le haut Moyen-Age. En tout état de cause, même si l’agglomération en elle-même n’est plus réellement occupée, la voie la traversant est toujours utilisée. Il s’agit là d’un point de passage important pour la région. L’importance de ce lieu de passage est soulignée par la présence d’un pont, construction rare à l’époque gallo-romaine, sur le Doubs. Cette région devait d’ailleurs être sécurisée par la présence de militaire dont de nombreuses armes ont été découvertes dans la rivière. Malgré ces quelques découvertes et de récentes recherches, il est aujourd’hui difficile de préciser la nature exacte de cette occupation qui devait sans aucun doute être un relais routier d’importance sur le tracé de la voie d’Agrippa, entre Châlon et Besançon.

 

 

8. Perspectives de recherche

 

Le recouvrement de l’agglomération antique par le village actuel rend difficiles les recherches de terrain aujourd’hui. Toutefois, les terrains libres restent encore nombreux pour mener de nouvelles prospections géophysiques permettant de confirmer les premières réalisées en 2010 le long du Doubs.

 

 

9. Bibliographie

 

 

Armand-Calliat 1937 : ARMAND-CALLIAT (L.) – Chalonnais gallo-romain. Répertoire des découvertes archéologiques faites dans l’arrondissement de Chalon, Société d’Histoire et d’Archéologie, Châlon-sur-Saône, 1937, 293 p.

 

Baudot 1857-1860 : BAUDOT (H.) – Mémoire sur les sépultures des Barbares de l’époque mérovingienne découvertes en Bourgogne, et particulièrement à Charnay, Mémoires de la Commission des Antiquités de la Côte d’Or, t. 5, 1857-1860, p. 127-305.

 

Baudot 1865-1869 : BAUDOT (H.) – Notice sur les vases antiques en verre représentant les jeux et les combats du cirque et de l’amphithéâtre, Mémoires de la Commission des Antiquités de la Côte d’Or, t. 7, 1865-1869, p. 205-214.

 

Baudot 1874-1877 : BAUDOT (H.) – Découverte d’une agglomération de sépultures à Charnay, Mémoires de la Commission des Antiquités de la Côte d’Or, t. 9, 1874-1877, p. 257-312.

 

Bonnamour 1967 : BONNAMOUR (L.) – Quelques trouvailles inédites de l’Age du Bronze dans la Saône et le Doubs, Bulletin de la Société préhistorique française, t. 64, 1967, p. 773-784.

 

Bonnamour 1970 : BONNAMOUR (L.) – Un plat en bronze trouvé dans le lit de la Saône à Pontoux (Saône-et-Loire), Revue Archéologique de l’Est, t. 21, 1970, p. 483-488.

 

Bonnamour 1971 : BONNAMOUR (L.) – Un exemple d’archéologie fluviale : Pontoux, Mémoire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Châlon-sur-Saône, t. XLI, 1971, p. 145-146.

 

Bonnamour 1984 : BONNAMOUR (L.) – Chronique archéologique, Mémoire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Châlon-sur-Saône, t. 53, 1984, p. 7-42.

 

Bonnamour 1988 : BONNAMOUR (L.) – Site subaquatique de Pontoux, SRA Bourgogne, Dijon, 1988, n.p.

 

Dumont, Bonnamour, Moyat 2011 : DUMONT (A.), BONNAMOUR (L.), MOYAT (P.) – Pontoux, Saône-et-Loire. Pont sur le Doubs, Revue Archéologique de Narbonnaise, t. 41, 2011, p. 343-346.

 

Kasprzyk 2005 : KASPRZYK (M.) – Les cités des éduens et de Châlon durant l’Antiquité tardive (vers 260-530 env.), contribution à l’étude de l’Antiquité tardive en Gaule centrale. Thèse de Doctorat, Université de Bourgogne, Dijon, 2005, 3 vol., 400 p., 486 p. et 478 pl.

 

Laurent 1992 : LAURENT (P.) : L’occupation gallo-romaine dans la vallée de la Saône entre Pontailler-sur-Saône et Verdun-sur-le-Doubs, Mémoire de maîtrise, Université de Bourgogne, Dijon, 1992, 261 p.

 

Rebourg 1994 : REBOURG (A.) – Pontoux, Carte Archéologique de la Gaule : La Saône-et-Loire 71/4, Académie des Inscriptions et des Belles Lettres, Paris, 1994, p. 485-486.

 

Sauty 2001 : SAUTY (C.) – Rapport de prospection-inventaire du canton de Verdun-sur-le-Doubs, SRA Bourgogne, Dijon, 2001, n.p.

 

Sauty 2002 : SAUTY (C.) – Rapport de prospection-inventaire du canton de Verdun-sur-le-Doubs, SRA Bourgogne, Dijon, 2002, n.p.

 

Sauty 2003 : SAUTY (C.) – Rapport de prospection-inventaire du canton de Verdun-sur-le-Doubs, SRA Bourgogne, Dijon, 2003, n.p.

 

Steinmann, Garcia, Dumont 2010 : STEINMANN (R.), GARCIA (J.-P.), DUMONT (A.) – Prospections et sondage géoarchéologiques sur les berges du Doubs, année 2010 : Pontoux, Charnay-lès-Chalon, Sermesse, Saunières (département de Saône-et-Loire), SRA Bourgogne, Dijon, 2011, 61 p.

Loïc Gaëtan

Illustrations Pontoux